Thomas Golsenne, docteur en histoire de l’art, a écrit sa thèse sur Carlo Crivelli et l’ornementalité au Quattrocento. Il est ancien pensionnaire de l’Académie de France à Rome, ancien professeur aux Beaux-Arts de Paris et à la Villa Arson à Nice, où il a dirigé l’Unité de recherche bricologie (2013-2017). 

Il est maître de conférences en histoire de l’art moderne et études visuelles à l’Université de Lille et actuellement rédacteur en chef de la revue Perspective.

Thomas Golsenne a notamment co-publié une traduction en français du De Pictura de Leon Battista Alberti (Paris, Seuil, 2004), La performance des images (Bruxelles, Éd. de l’Université de Bruxelles, 2010).

Il a dernièrement publié Pascal Pinaud. Serial Painter (Genève, 2014), Essais de bricologie (co-dirigé avec P. Ribault, 2016), Carlo Crivelli et le matérialisme mystique du Quattrocento (Rennes, 2017), co-dirigé (avec P.-O. Dittmar, P.-A. Fabre et C. Perrée) Matérialiser les désirs. Techniques votivesTechniques&Culture, n° 70, 2018 ainsi que Par-delà art et artisanat en 2019 (avec F. Cozzolino) dans Images Re-vues et Un Moyen Âge émancipateur (avec C. Maillet) en 2021.

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