• Revue : Nouvelles Chroniques du manuscrit au Yémen (1)
  • Pages : 98

Résumé

Durant plusieurs siècles, le Yémen n’a pas porté d’intérêt institutionnel à ses archives, étant isolé du monde extérieur du fait de l’occupation ottomane au Nord du pays et de l’occupation britannique au Sud. Depuis la Révolution de 1962, le besoin de disposer d’archives bien organisées et accessibles est apparu. À cette fin, l’État a créé différents comités pour collecter et organiser des archives publiques et privées et a ensuite créé plusieurs institutions publiques de collecte et de conservation des archives. Au Yémen, des institutions publiques ont la charge de conserver les archives. Les principales sont le Centre national des archives, le Centre yéménite d’études et de recherches, celui de Sanaa et celui d’Aden, les Archives des Waqfs, le Centre al-Ẓafārī de recherches et d’études du Yémen à l’Université d’Aden, la Bibliothèque nationale d’Aden, la Cour d’appel d’Aden, ainsi que le Centre des archives militaires.

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