« La violence est ce qui ne parle pas » : les traces matérielles de la violence dans l’histoire

Travaux issus de la journée d’étude des jeunes chercheurs ENC-EPHE organisée le 22 juin 2022.

Études réunies par Margaux Faure, Lisa Lafontaine et Vincent Sarbach-Pulicani.

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Introduction

Première partie. La violence dans les traces écrites et la multiplicité des sources

  • Orion Déchand : « Les capítulos du tribunal ecclésiastique de Lima au xviie siècle : lieu d’expression de la violence, lieu d’exercice de la violence » → Consulter le chapitre
  • Marilena Polosa : « Conflit des communautés : la violence religieuse au vie siècle de notre ère. Témoignages épigraphiques et littéraires de la région sud-arabique et axoumite » → Consulter le chapitre
  • Arsène Donada-Vidal : « “Une tristesse pénible dont l’esprit a peine à s’affranchir.” Écrire la violence de la guerre : constructions mémorielles et stratégies d’écriture des soldats français pendant l’expédition de Formose (1884-1885) » → Consulter le chapitre

Deuxième partie. Images violentes ou violence des images ? La question de l’iconographie

  • Léa Maronet : « Pierres de héros et pierres de sati. Célébration du sacrifice de soi en Inde médiévale (vie-xiiie siècles) » → Consulter le chapitre
  • Louise De Wilde-Calmettes : « “I can’t believe the news today”. Raconter le Bloody Sunday par l’image dans la presse nord-irlandaise » → Consulter le chapitre

Troisième partie. Sévices passés et lectures postérieures : interpréter les sources de la violence

  • Hugo Fresnel : « Que faire de la violence ? Réécritures des violences vikings dans le monde anglo-normand » → Consulter le chapitre
  • Jean-Baptiste Lucq : « Récit et expressions de la violence au temps des guerres de Religion. L’exemple des livres v-vii des Commentaires de Blaise de Monluc » → Consulter le chapitre

Conclusion

  • Roberto Rossi : « Récit ou dialogue ? Victimes et bourreaux au cœur d’une querelle de l’historiographie post-moderne » → Consulter le chapitre

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