Journée d'étude du projet de recherche « Punk is not dead. Une histoire de la scène punk en France 1976-2016 » consacrée aux cultures visuelles et esthétiques, organisée par Solveig Serre (prom. 2005), chargée de recherches au Cnrs, Dominique Bodin (U. Paris-Est-Créteil, LIRTES) et Luc Robène (Université de Bordeaux, Thalim).

Samedi 30 septembre 2017

  • FGO Barbara, 1, rue Fleury, Paris 18e
  • 10h-17h30

Ce projet de recherche (« Punk is not dead ») est soutenu par le programme Intelligence des patrimoines du CESR, THALIM et l’ANR.

Dessine-moi un punk

Au-delà du fonctionnement anarchique volontiers revendiqué par les musiciens du punk, le mouvement présente des épisodes de cohésion visibles dans la rencontre des codes et des signes, qui recoupent les créations musicales et visuelles.

Cette journée d’étude souhaite poser la question de la responsabilité des images et des pratiques esthétiques dans la construction du monde punk qu’elles constituent singulièrement, en pointant les correspondances entre son et image. Dans le vaste chantier des homologies musicales, esthétiques et artistiques, le dessin, et plus largement les arts graphiques, représentent un prisme d’analyse de première importance. Dès 1976, c’est depuis l’espace graphique que se développe en France un ensemble d’artefacts – pochettes de disques, fanzines, affiches, bandes dessinées, booklets de K7, tatouage, mode – qui construit l’iconographie punk.

L’objectif de cette journée consacrée à la culture et à l’esthétique punk est donc d’examiner cette hypothétique cohérence structurale au regard des pratiques et modes de création et de dévoiler ses significations profondes par une approche iconographique.

 

Programme de « La scène punk en France (1976-2016) : cultures visuelles et esthétiques »

 

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